Les Parisiens ont déroulé face aux Stambouliotes (5-1) et terminent premiers du groupe H.
Un jour après être parvenus à contraindre l’UEFA à interrompre une rencontre officielle , une première historique , pour une suspicion de propos racistes du quatrième arbitre à l’encontre de l’entraîneur adjoint du club turc, Pierre Achille Webo, les joueurs du PSG et de l’Istanbul Basaksehir se sont retrouvés, mercredi 9 décembre, pour un match sans véritable enjeu sportif.
Le t-shirt « No to racism »
Ils ont facilement dominé leurs adversaires et se sont emparés de la première place du groupe H. Vainqueur 5-1, grâce à un triplé de Neymar et un doublé de Kylian Mbappé, les joueurs de Thomas Tuchel terminent devant le RB Leipzig (12 points chacun), l’autre rescapé du groupe H, qualifié pour les huitièmes de finale.
Dans un stade quasi vide, huis clos oblige, l’UEFA et les deux clubs ont orchestré un avant-match très attendu. Lors de l’échauffement, les joueurs et les membres des staffs – Pierre Achille Webo compris, puisque son carton rouge a été levé – ont d’abord pénétré sur la pelouse du Parc des Princes en arborant un t-shirt siglé « No to racism ».
Les Parisiens leader de leur groupe
Grâce à ce succès, les Parisiens se qualifient pour la neuvième fois consécutive pour les huitièmes de finale de la compétition et pour la quatrième fois d’affilée en terminant leader de leur groupe. Ils évacuent le stress provoqué par des résultats en demi-teinte au cours de la phase de groupes (deux défaites lors des trois premiers matchs). De quoi leur offrir, a priori, un adversaire moins redoutable, l’un des sept deuxièmes de poule.
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