« Le Real Madrid, avec ses quatorze victoires de la Ligue des Champions depuis le début de l’événement en 1956, a triomphé dans toute l’Europe. Le club espagnol a récolté ses trophées dans divers pays, dont l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, la France, les Pays-Bas et le Portugal, où le football est très populaire. Il est pourtant surprenant de constater qu’ils n’ont pas encore remporté la victoire en Grande-Bretagne, en particulier en Angleterre, le berceau du football mondial.
La tendance semble être sur le point d’être inversée : le Real Madrid semble déterminé à réparer cette anomalie et à affirmer sa dominance lors de la finale de la 69ème édition de la Ligue des champions contre le Borussia Dortmund au stade de Wembley à Londres le 1er juin. Affrontant le club allemand, classé cinquième dans leur ligue et qui avait pris tout le monde au dépourvu en atteignant la finale, le Real Madrid est le favori incontesté, une finale qu’ils semblent contrôler de bout en bout, car ils n’ont plus perdu un match de finale de la Ligue des champions depuis 1981.
Au cours des dix dernières années, grâce à l’expertise des entraîneurs comme Zinédine Zidane et Carlo Ancelotti, le club madrilène a renoué avec son passé glorieux dans cette compétition, réaffirmant le lien indissociable entre le Real Madrid et la Ligue des Champions. L’union entre le Real Madrid et la Ligue des champions est éternelle. Le Real Madrid est un collectif constamment tenace et aguerri. »
Au cours des dernières années, ce destin associé a évolué pour embrasser le mysticisme et hisser le Real dans chaque situation. En 2022, l’année était dominée par Karim Benzema et d’innombrables revirements contre le Paris Saint-Germain, Manchester City et Chelsea. En finale, Thibaut Courtois avait manifesté une grâce extraordinaire et avait réussi à repousser toutes les offensives des joueurs de Liverpool pour assurer à son équipe une quatorzième victoire.
Cette saison, l’enchantement a encore une fois eu lieu. Le Real peut s’appuyer sur une équipe toujours déterminée et expérimentée, qui est apparemment bien supérieure à un Borussia Dortmund aussi étonnant que cohérent. Le club qui detient le titre de champion d’Espagne a ressenti des émotions trop fortes lors des tours précédents pour laisser échapper le titre maintenant. Contre Leipzig et Manchester City, aux huitièmes et quarts de finale respectivement, le Real a souvent été maltraité et a dû traverser des moments difficiles. Mais contre le Bayern Munich, au tour suivant, il a montré ce qu’il fait de mieux : marquer deux buts lors des deux dernières minutes du match pour atteindre la finale.
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