Il existe bel et bien un « plan de secours ». Si la sécurité est jugée trop menacée, la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques pourrait ne pas se tenir sur la Seine, comme l’a annoncé Emmanuel Macron sur BFM-TV et RMC le 15 avril. « Nous effectuons une analyse en continu, avec des plans alternatifs que nous préparons conjointement. Nous pourrions restreindre la cérémonie au Trocadéro, ou même la ramener au Stade de France », a assuré le président.
Pour l’instant, la cérémonie d’ouverture consiste en un défilé fluvial des équipes sportives couvrant 6 kilomètres sur la Seine, prévu pour se terminer sous le Trocadéro, où seront notamment placés tous les dirigeants mondiaux. On s’attend à accueillir environ 100 000 spectateurs payants et 222 000 spectateurs gratuits sur les rives basses et hautes.
Dans 102 jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, le président a aussi mentionné son intention de « tout faire pour obtenir une trêve olympique pour tous les théâtres » de conflit, en se référant à la guerre en Ukraine, la guerre Israël-Hamas et le Soudan. « Le président chinois se rendra à Paris dans quelques jours, je lui demanderai son aide », a ajouté M. Macron. « Nous avons besoin de cette trêve ».
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– Sécurité
Le risque des cyberattaques durant les jeux « effraie vraiment » le système de santé de la région Île-de-France
Les cyberattaques, les fraudes et la désinformation, les menaces numériques qui affectent les Jeux Olympiques de Paris.
Dans le cadre des préparatifs des JO 2024 à Paris, Gérald Darmanin a détaillé les dispositions de sécurité qui seront mises en place, notamment un QR code et un périmètre antiterroriste. Le challenge des préparatifs est d’autant plus grand que les organisateurs doivent également se préparer face aux risques d’épidémies.
Les systèmes de transport, tels que les aéroports de Roissy et d’Orly, sont confrontés à l’enjeu colossal de la gestion des flux liés aux Jeux Olympiques et Paralympiques. La question se pose sur les éventuels problèmes auxquels pourrait faire face le réseau de transport en Île-de-France durant cet événement.
Concernant les infrastructures, la construction de la piste de BMX et du village olympique à Paris 2024 en Seine-Saint-Denis est en cours. Bernard Thibault exprime l’ambition démontrer que les grands événements tels que les Jeux Olympiques ne sont pas incompatibles avec la mise en œuvre de hauts standards de droits sociaux.
La préparation des athlètes est également un sujet primordial. La volleyeuse, Lucille Gicquel, est en Turquie pour se préparer avant sa première participation aux jeux olympiques. Le grimpeur slovène Janja Garnbret est salué comme le meilleur grimpeur de tous les temps. Clarisse Agbégnénou fait aussi parler d’elle en raison de sa préparation intense pour les jeux. Le parcours du marathon a, en outre, bouleversé le régime d’entraînement des athlètes. Alors que nous sommes à quatre mois des JO de Paris 2024, Léon Marchand, surnommé « le roi de la natation », semble prêt pour l’événement. Cependant, la question demeure : La France dispose-t-elle des ressources nécessaires pour se distinguer dans le classement des médailles? Pour finir, Simone Biles, gymnaste, a exprimé ses doute sur sa participation à Paris 2024.
C’est devenu un sujet de discorde parmi le mouvement sportif en Russie – faut-il ou non participer aux Jeux olympiques ? La situation de plus en plus tendue avec le gouvernement russe, qui selon le président du CIO Thomas Bach, augmente son agressivité quotidiennement. Tout fait penser à un possible boycott olympique.
Parallèlement, le gouvernement rencontre des difficultés pour distribuer les billets gratuits aux personnes handicapées, malgré une logistique forte. Le Comité d’organisation se montre optimiste, affirmant avoir sécurisé déjà plus de 90% de ses revenus budgétaires. Pourtant des augmentations de salaire au sein de la direction du Comité suscitent des interrogations. Les organisateurs cherchent, par ailleurs, à économiser en sollicitant l’aide des collectivités partenaires.
Ensuite, des enquêtes judiciaires visent désormais Tony Estanguet, le responsable des Jeux, ainsi que les « quatre mousquetaires » du Comité d’organisation, qui sont dans le collimateur du PNF.
Quant au relais de la flamme olympique, il n’est pas exempt de problèmes. En effet, le coût et les conditions d’accueil de celui-ci irritent certaines municipalités.
Au sujet des Jeux paralympiques, le gouvernement déploie des efforts supplémentaires pour combler les retards d’accessibilité.
La Seine-Saint-Denis est au cœur de la transformation olympique, avec le centre aquatique olympique, une piscine XXL proposée. Cependant, les réactions sont partagées entre excitation et crainte face à la transformation du parc Georges-Valbon. La privation du Red Star Rugby de Saint-Ouen de son stade en raison des Jeux attise également les tensions.
Enfin, Paris se prépare à vivre au rythme des Jeux, avec tous les avantages et les défis que cela comporte.
As the Olympics draw closer, poverty-fighting organizations are concerned about potential « social cleansing ». With great optimism, the Adidas Arena has been inaugurated at Porte de la Chapelle. The Games aren’t just for Paris and Seine-Saint-Denis, and Marseille is banking on the arrival of the Olympic flame to spark interest in the event.
In Martinique and Guadeloupe, the Olympic fervor is rising even from afar. Teahupoo in Polynesia is excited to host the 2024 Olympics but fears over tourism are high. Environmental stakes are high as well. The Sports Minister assures that the aim to reduce bacterial pollution in the Seine by 75% will be attained.
However, the danger of a sweltering summer threatens unbearable Olympic games. Cutting meals’ carbon footprint in half is another challenge for Paris in 2024. Organizers are also planning on how to face a heatwave this summer.
Societal issues highlighted by the games are numerous. Anti-Olympics groups struggle to rally support. Far from the grandiosity of the Olympics, there’s the reality of physical education in a Montreuil school. The situation of swimming pools in France is considered worrying in an era when sports are regarded as a national priority.
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