Le dopage dans le cyclisme

Définition Le dopage est l’utilisation de substances exogènes qui permettent d’accroitre les facultés du corps du dopé.
Cette pratique était très utilisée dans les années 1980, voire les années 1990.
Quelques attitudes dopantes L’EPO (ou érythropoïétine) est une substance naturellement synthétisée par le corps au niveau des reins.

Elle permet la production d’hématies, c’est à dire de globules rouges pour permettre d’apporter de l’oxygène au sang.
Cet EPO a été la première substance dopante réellement utilisée massivement comme produit dopant, elle engendrait la production d’une grande quantité de globules rouges ce qui permettait aux coureurs de mieux oxygéner leurs muscles et donc d’être moins soumis à la fatigue physique.
Les autres produits dopants L’EPO, bien qu’il ait été amélioré par les scientifiques (EPO de génération 2 voir 3) n’est pas la seule substance utilisée.
En effet, les narcotiques, les amphétamines, les bêta-bloquant permettent respectivement de diminuer les douleurs et d’augmenter la concentration.
Une autre forme de dopage est l’injection de sang pour accroitre son nombre d’érythrocytes, ceci peut engendrer une mort comme dans le cas de Ricco avec l’injection en même temps que le sang d’une bulle d’air qui peut être fatale.

Le dopage dans le cyclisme Le cyclisme a été secoué par de nombreuses affaires de dopage, la plus connue étant l’affaire Festina en 1998 lors du tour de France après la découverte d’un important trafic d’EPO chez l’un des coureurs de l’équipe.
Le septuple vainqueur du tour de France : Lance Armstrong, est lui aussi soupçonné de dopage.
Enfin, Contador (triple vainqueur de la grande boucle) a été lui aussi soupçonné de dopage avant d’être blanchi par sa fédération.
Il faut rappeler que les substances dopantes sont dangereuses pour la personne dopée.
En 2010, Ricardo Ricco faillit mourir suite à l’injection de sang.
Marco Pantani semble être mort en 2004 suite à la prise de produits illicites également.