Chaque année, L’UCI (Union Cycliste Internationale) dresse une liste de tous les coureurs participant au Tour de France.
Cette liste consiste à évaluer le niveau de suspicion vis à vis d’un cycliste, concernant son implication dans la prise de produits dopants.
Système Pour cela, l’UCI utilise un système de notation allant de 0 (pas de soupçon de dopage) à 10 (forte suspicion de dopage).
L’an dernier, 198 coureurs cyclistes étaient engagés sur l’édition du Tour de France 2010.
Sur ces 198 coureurs, 47 ont une note de 0, et 27 ont une note qui est supérieure à 6.
Dans ce lot de 27 cyclistes, on en compte 3 qui font partie des 20 premiers au classement général.
Cependant, l’UCI mène une lutte inégale car, lorsque les contrôles peuvent détecter un produit d’une certaine génération, les cyclistes les plus fortunés utilisent quant à eux des produits d’une génération plus récente (dernière génération).
De plus, de nouveaux produits apparaissent régulièrement, ce qui pousse les contrôleurs à ranger les produits dopants en familles.
Ces derniers temps, deux nouvelles catégories ont été créées : le dopage génétique et le dopage mécanique.
Un nouveau produit fait son apparition : l’Aicar.
Ce produit permet d’augmenter l’endurance du coureur ce qui lui permet d’enchaîner les étapes plus facilement.
Pour contrer ce fléau qui nuit chaque année un peu plus au monde du cyclisme, des moyens de plus en plus importants sont mis en œuvre pour éradiquer le dopage.
Laisser un commentaire