La dure loi du sport ne permet que très peu de « vacances ».
Le calendrier des compétitions dépendra du niveau du nageur.
Les compétitions les plus importantes ont souvent lieu à partir du mois de juin jusqu’à la fin juillet.
On va donc commencer le début du programme appelé programme foncier au mois de septembre.
Ainsi, de septembre jusqu’au mois de février, il va falloir nager, beaucoup nager, et faire beaucoup de kilomètres.
Le travail foncier permet de travailler l’endurance, très importante pour gagner quelques secondes ou centièmes de secondes.
En le meeting de demi-fond, qui à lieu courant décembre, offre la première confrontation entre d’autres nageurs.
Du mois de février jusqu’au mois d’août, il va falloir travailler, la spécialisation du nageur, sa nage et ses courses préférées.
C’est pourquoi le nageur de 100m nage libre ne va pas travailler sa spécialisation de la même manière que le nageur du 400m nage libre ou du 200m brasse.
Plus la distance est courte plus il va falloir travailler à l’entraînement la vitesse « pure », vitesse maximale sur 25m maximum.
L’importance est de savoir réguler l’acide lactique qui paralyse les muscles et donc fait ralentir le nageur, lui fait perdre du temps.
Il faudra tout de même poursuivre durant cette période le travail foncier, 2 à 4 fois par semaine.
Pour augmenter l’efficacité des entraînements, on peut les réaliser en altitudes.
Enfin une fois les compétitions passées (avec une journée de récupération, en nageant après chaque compétition) il faut analyser sa course, comprendre le moment où l’on a perdu du temps.
Pour finir l’année, le mois d’août est le mois de repos, bien entendu, si on a l’occasion de courir ou de nager en eau libre, l’idée est la bienvenue.
Voici le programme bouclé, prêt à enchaîner un nouveau cycle.
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