Depuis quelques années, les nominations des joueurs all-stars étaient le seul intérêt d’une soirée où ses grandes histoires basket manquaient.
Alors, Los Angeles était le bastion idéal pour relancer cette fête grâce à son cocktail explosif : du showbiz US (Rihanna, Jay Z et Beyoncé, Lenny Kravitz, Stevie Wonder, Jack Nicholson, etc.
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), une salle, le Staples Center, spécialisé dans le grand spectacle et des stars locales « in fire ».
Le Slam Dunk Contest reprend vie grâce à des participants qui nous ont offert un concours digne des plus grand.
Alors, merci à Demar Derozan et son magnifique dunk renversé une main, merci à Serge Ibaka, fier représentant de l’Afrique, qui tel Julius « Dr J » Erving, membre du jury, nous ressort le dunk de la ligne des lancers francs, et merci au très long et tentaculaire Javale McGee qui a fait preuve d’inventivité avec des dunks sur 2 panneaux ou avec 3 ballons comme si un ballon ne suffisait plus ! C’était sans compter sur Blake Griffin qui réussit le braquage parfait en sautant par dessus d’une voiture (du sponsor du concours évidemment) sous le « I believe I can fly » d’un groupe de gospel.
Le show et la « hype » ont parlé, et Blake « Donkey Kong » s’empare du trophée.
A noter la victoire des outsiders Stefen Curry dans le concours des meneurs, et James Jones dans celui du 3 points.
Le lendemain dans le match des étoiles, c’est Kobe Bryant (37pts-14rbd), bien soutenu par Kevin Durant (34pts), qui permet a l’équipe de l’Ouest de s’imposer dans un match bien maîtrisé contre l’Est où Lebron James, auteur d’un triple-double (29pts12rbd10pds) et étant seulement le second a réussir cette performance avec Jordan et Stoudemire, était bien seul.
Kobe égalise le record de Bob Pettit (datant de 1962) en étant pour la 4e fois MVP du All–star game, et en éblouissant son public avec des moves et des dunks tel un jeunot de 20 ans.
« The Black Mamba » a encore montré au monde entier qu’il est toujours présent à l’heure des records.
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