Le mercato du PSG Cinq nouvelles recrues ont déjà signées, et pas des moindres : 3 internationaux français (Gameiro, Ménez, Matuidi), l’homme de vestiaire de Kombouaré à Valenciennes (Bisevac) et un gardien d’expérience en la personne de Nicolas Douchez.
La « patte » Leonardo Et ce n’est pas tout, si Leonardo, fraîchement promu Directeur Sportif en chef de club, a jusque là recruté « franco-français », on sait qu’il prépare depuis plusieurs semaines une ou deux arrivées depuis ses championnats de prédilections : l’Italie et le Brésil.
Beaucoup de noms circulent, pour probablement beaucoup de millions d’euros également.
Quoi qu’il en soit le PSG n’a pas terminé son recrutement et les prochains transferts seront marqués du sceau de l’ex entraineur milanais.
Si l’on ajoute à cela les prolongations de joueurs clés comme Sakho, Chantôme ou encore Jallet cette équipe est, sur le papier, une des favorite pour la victoire finale.
Un club sous pression Mais le Paris Saint Germain demeure un club sous pression et de ce fait rapidement sujets aux crises.
Ainsi, même si les matchs de préparation contre Innsbruck et la Roma ont été convaincants (1-0 et 3-0 ; deux fois 45 min), il faudra se méfier de mauvaises performances en début de saison qui pourraient mettre en danger l’entraineur Kanak et fragiliser un groupe rajeuni et composé de nombreuses recrues.
La rencontre de la première journée face à la bête noire Lorientaise qui se fait souvent un plaisir de venir battre la formation parisienne au Parc des Princes, aura tout d’un test décisif pour lancer la saison.
Paris sans concurrent ? Le PSG à donc de très bonnes chances de finir dans les 3 premiers de cette Ligue 1 mais il faudra evidemment compter avec Lille, le champion sortant, ainsi que Marseille et Lyon pour le titre.
Néanmoins, si les Marseillais ne proposent pas plus de jeu que la saison précédente et que les Lyonnais ne règlent pas leurs chantiers, notamment en défense centrale, il suffira aux parisiens de surclasser les Dogues.
Le pari semble bien côté puisque les hommes de Rudi Garcia n’ont, malgré leur qualité de jeu, marqué que très peu de points pour un champion (78 points).