Les Maîtres Ces fondateurs font partie de la mémoire des karatékas.
Au karaté, on se sert des mains et des pieds (nus), aucune arme n’est utilisée.
Ces techniques ont été mises au point par des maîtres fondateurs, en voici quelques-uns : Funakoshi Gichin.
Miyagi Chojun.
Mabuni Kenwa.
Otsuka Hironori, etc… Le dojo Ce mot japonais signifie « lieu où l’on étudie la voie », la voie étant celle vers laquelle le karatéka aspire : devenir un combattant qui n’a plus besoin de montrer sa force.
Le dojo est donc l’endroit où l’on apprend le karaté.
C’est un endroit où des règles de discipline et de respect sont appliquées très sérieusement.
Le professeur et le partenaire Le respect envers l’un et l’autre est une base absolue au karaté.
L’étiquette De nombreuses règles sont appliquées au karaté, dont la politesse, la courtoisie, les saluts… La tenue Le karatéka porte un keikogi (ou karategi), ce sont les tenues d’entraînement.
Ce n’est pas un kimono.
Il se compose d’une veste maintenue par une ceinture (l’obi) et d’un pantalon à large entrejambes.
La couleur de la ceinture indique le grade du karatéka.
Elle doit toujours être nouée dans les règles de l’art et le karatéka doit en prendre grand soin.
Se tenir Il existe de multiples positions à assimiler (d’attaque ou de défense) : heisoku dachi, musubi dachi, zen kutsu, ki kutsu, jun zuki no ashi…
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