L’histoire de piratage du compte Twitter de Nasri mardi soir pourrait coûter cher au Français…
Ça aurait pu être une simple affaire de piratage comme Twitter en connaît quotidiennement.
Mais les étranges tweets de Samir Nasri (certains à caractère sexuel) mardi soir pourraient bien mettre le milieu de terrain du FC Séville dans une position inconfortable sur le plan médical.
Selon El Pais, l’agence antidopage espagnole (AEPSAD) aurait ouvert une enquête sur un traitement reçu par le milieu de terrain révélé sur Twitter.
Pour mieux comprendre, il faut remonter dans le temps. Aux alentours de minuit, une première salve de tweets suspects (et dont la petite amie du joueur pourrait être à l’origine) est diffusée par le compte de Nasri.
Elle fait suite à une publication du compte Drip Doctors, sur laquelle on voit une infirmière poser au côté du Sévillan.
Si l’objet de la polémique visait initialement la relation ambiguë entre l’infirmière envoyée par Drip Doctors chez Samir Nasri pour effectuer une perfusion vitaminée et ce dernier, c’est finalement le traitement en question, IV Drip, qui pourrait coûter cher au Français.
Le site de Drip Doctors décrit cette perfusion comme capable de « stimuler votre système immunitaire et de prévenir des maladies. Il contient des doses élevées de vitamine C, de vitamines B, de lysine et de zinc combinées avec des nutriments spécialement formulés pour aider à combattre les superbactéries et les virus courants. » Selon une source de l’AEPSAD contactée par El Pais, « qu’un sportif se rende dans une clinique comme celle-là est déjà suspect. »
Bref, si cette histoire se confirme, l’ancien joueur de l’OM pourrait avoir de gros soucis, sachant que l’AMA se veut très stricte quant aux traitements par intraveineuse, interdits au-delà des 50 millilitres pour des produits autorisés.
Une tentative d'effraction peut laisser les propriétaires vulnérables et anxieux. Savoir comment réagir immédiatement après un tel événement est crucial pour sécuriser votre espace et aider à l'enquête.