Jo-Wilfried Tsonga qui affronte aujourd’hui Andy Murray en demi-finale de Wimbledon sait à quoi s’attendre, l’Écossais sera soutenu par tout le peuple britannique, mais le Français ne veut pas laisser passer l’occasion d’être le premier tricolore en finale de ce tournoi depuis Pioline en 1997.
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» Je n’appréhende pas. Il y aura du bruit dans le Central, ça va être un match dur et je m’y prépare Je sais que ce sera une journée importante pour moi « a expliqué Tsonga au journal l’équipe, conscient de l’importance de l’évènement. Au fait des forces de son adversaire, le Français se place dans une position d’outsider, » Il me retourne bien. Contre lui, mon service n’a pas le même rendement. Il passe très bien aussi. Même quand il est en difficulté, il peut vous sortir le petit coup bien pénible. Il a gagné plus de matchs que moi sur gazon. Pour l’instant, le favori, c’est lui. Pour l’instant. « Mais Tsonga compte sur sa bonne forme physique pour faire flancher l’espoir du tennis britannique, » Pour l’instant, je joue moins bien que l’an dernier, mais c’est peut-être une bonne chose. Je n’ai pas de sensations tennistiques incroyables mais physiquement, je suis là. J’arrive à contrôler la douleur qui vient de mon petit doigt et, surtout, je suis plus costaud dans la tête qu’il y a un an. J’ai travaillé avec des préparateurs mentaux. J’étais faible sur la concentration, l’attitude… « Des paroles encourageantes qu’il faudra confirmer cet après-midi sur le gazon londonien.
Eric Gerets serait pressenti pour succéder à George Leekens qui vient de quitter l'équipe nationale de Belgique.