La traque des faussaires est opérée par les procureurs de la République, aidés par la police et les équipes de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie.
C’est une conséquence prévisible de l’instauration du pass sanitaire au mois de juin 2021 : la multiplication de faux pass sanitaires pour les récalcitrants. Selon le spécialiste de la cybersécurité Chekpoint, le nombre d’offres de pass sanitaires a augmenté de 257 % en quelques mois.
Un trafic de faux pass sanitaires impliquant des soignants
La traque des faussaires est opérée par les procureurs de la République, aidés par la police et les équipes de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie. Selon un décompte officiel présenté en conférence de presse mardi 21 septembre, 262 perquisitions ont été menées en France à la recherche de faux passes sanitaires.
Un trafic ayant lieu online
Des réseaux proposant la vente de faux passes sanitaires se sont développés sur le territoire français via les applications de messagerie telles que WhatsApp ou Telegram. Ils impliquent le plus souvent des professionnels de santé (infirmiers libéraux, soignants, personnes travaillant dans les centres de vaccination). On estime que 36000 citoyens français auraient eu recours à leurs « services ».
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