Le coronavirus est apparu pour la première fois en Chine en décembre. Depuis lors, en particulier ces dernières semaines, l’épidémie de coronavirus a impliqué un nombre croissant de pays dans le monde. Cela a conduit l’OMS à définir le coronavirus comme une pandémie et non plus comme une épidémie.
Depuis fin février, l’un des pays les plus touchés par l’épidémie était l’Italie. En quelques semaines, cependant, le coronavirus a également impliqué d’autres pays européens, atteignant finalement les États – Unis. Pour ces raisons, le coronavirus serait une pandémie signalée par l’Organisation mondiale de la santé.
L’utilisation du terme pandémie par l’Organisation mondiale de la santé dénote à la fois deux préoccupation. En particulier, agitation contre les niveaux alarmants de propagation et le nombre élevé de pays concernés. Le souci est que les territoires affectés seront de plus en plus nombreux si la communauté internationale n’établit pas de règles de confinement communes et mondiales. En fait, l’infection par l’épidémie de coronavirus affecte actuellement plus de 110 000 personnes et 4 000 morts dans le monde. Le nombre de nouveaux cas en Chine au cours des dernières semaines est également significatif, il s’est multiplié par 13.
Les mots du directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font penser. Il invite à être plus agressifs et rigides avec les mesures à imposer, car il est possible de maîtriser et éradiquer la pandémie. Enfin, l’inquiétude concerne également les gouvernements qui n’ont pas suffisamment communiqué avec la population. Il est important de comprendre le niveau de gravité de l’épidémie de coronavirus. Le risque est de sous-estimer le danger, tant de la part des hautes autorités de l’État que de la population.
En effet, le taux d’incidence du Covid-19 progresse à l’arrivée de la saison du froid.
Omicron : un nouveau variant « BA.2 » inquiète les scientifiques.