Un traitement sans molécule active peut apporter du soulagement à certains malades. C’est dire que les placebos ne peuvent pas soigner certaines maladies. Ils permettent tout simplement de supporter les effets indésirables des chimiothérapies. L’on conclut alors que l’effet placebo ne signifie pas défaut d’effets. Curieusement, le placebo arrive souvent à soigner les patients.
Reconnaissant que le placebo réduit les symptômes, il est difficile de rassurer les patients qu’un cachet dépourvu de principe actif peut traiter un cas de maladie. Il agit sur l’état physiologique du patient. Dès lors, il atténue les troubles gastro-intestinaux, la dépression, les allergies, l’anxiété, les migraines, l’insomnie, les douleurs chronique.
A vrai dire, tous les patients ne trouvent pas satisfaction avec le placebo. Cette pratique médicale fait appel à un grand nombre de mécanismes biologiques. Les spécialistes de la santé sont arrivés à la conclusion selon laquelle l’effet placebo prend en compte des mécanismes cérébraux qui interviennent dans l’inflammation et la douleur.
Bien d’autres études évoquent des caractéristiques anatomiques et psychologiques pouvant atténuer la douleur chez un patient et non chez un autre. Cela donne l’impression qu’un faux médicament a été administré aux patients non satisfaits. Tout ceci laisse croire que l’usage du placebo n’est pas obligatoire.
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