Nous n’avons pas encore beaucoup de recul sur les effets à long terme des nouvelles technologies. Mais il semblerait que les champs électromagnétiques émis par les antennes de téléphonie pourraient dérégler la température de notre corps et provoquer le fractionnement d’une phase du sommeil selon une étude publiée dans la revue Environmental Science and Pollution Research,
Selon des scientifiques, il existerait des personnes dites « électro-sensibles » habitant à proximité d’une antenne-relais et qui décrieraient des symptômes mettant en relief des problèmes de sommeil : réveils fréquents, difficultés pour se rendormir et insomnies.
L’Institut national de l’environnement industriel et des risques (Ineris) et l’Université de Picardie Jules Verne (UPJV) ont essayé de quantifier ces effets et ils ont découvert l’existence d’un effet biologique des champs électromagnétiques sur l’équilibre du corps humain. « Les premières conclusions montrent des effets biologiques des radiofréquences à long terme et simultanés sur la régulation thermique, le comportement alimentaire et le sommeil », affirment-ils.
C’est sur des rats que l’étude a été faite, et les chercheurs ont trouvé quelques éléments qui prouvent que le rythme du corps se trouverait modifié par les ondes électro-magnétiques. Mais ils n’ont pas noté de modification des paramètres de qualité du sommeil et donc aucun cas de réduction du temps de sommeil, du nombre des réveils ou encore de la difficulté à se rendormir.
Les effets négatifs seraient surtout remarqués en terme de troubles de l’humeur, mais aussi sur le comportement alimentaire. On en saura sûrement davantage dans quelques années.
Avec ça plus le wifi plus les ondes radio et les téléphones dans la chambre… Pourtant je dors pas si mal :p
C’est certain que les antennes ont des actions sur le corps et la santé. Je pense que les efffets sont lents à arriver (un peu comme la clope)
@Mr Geek, c’est une question de frequences : les ondes radio par exemple, sont sur des fréquences qui n’ont pas d’action sur l’eau (beaucoup d’etudes analysent les effets de bord sur l’eau, comme les humains en sont constitués en majorité)