L’IGPN, la « police des polices », a été saisie pour une affaire aussi surprenante. Un agent de police a insulté une victime d’agression sexuelle de « sale pute » sur sa messagerie vocale, pensant avoir raccroché.
La nuit de 4 au 5 février, une jeune femme parisienne a déposé plainte dans un commissariat de Paris après avoir été agressée sexuellement par un inconnu dans la rue. Plus tard, un officier de police la contacte afin d’entendre sa version des faits, mais il tombe sur le répondeur de la victime. La police qui pensait avoir raccroché laisse par erreur un message contenant plusieurs insultes misogynes.
Bien évidemment, la jeune femme a écouté le message. Plus qu’étonnée de recevoir ce message insultant, elle a décidé de retourner au commissariat. Une policière a promis de remonter les faits à sa hiérarchie. Ensuite, la plaignante a fait un signalement sur le site de l’IGPN. La victime a ainsi déposé plainte pour injure. Le mardi 15 février, la préfecture de Paris a décidé de suspendre le fonctionnaire par mesure de précaution. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a également souligné que ce policier n’a plus sa place au sein de la police nationale.
En effet, le taux d’incidence du Covid-19 progresse à l’arrivée de la saison du froid.
« Il faut vraiment regarder la composition et ne pas se fier aux informations figurant sur l'emballage telles que 'élimine 99 % des bactéries' ou 'produit naturel' ».
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