En cette occasion, le gouvernement français a lancé une campagne anti-GHB dans ces lieux.
En raison de la pandémie du coronavirus, les discothèques et les boîtes de nuit étaient contraintes de fermer leur porte pendant de longues semaines. Mais face à la décrue, le milieu de la nuit peut rouvrir. En cette occasion, le gouvernement français a lancé une campagne anti-GHB dans ces lieux.
Campagne anti-GHB : le gouvernement opte pour les affiches et dépliants
La sensibilisation contre le GHB est lancée à travers des dépliants et des affiches qui seront diffusés dans les discothèques et les boites de nuit à destination des victimes et des professionnels. Ces supports seront distribués dans les milieux de la nuit en partenariat avec l’Union des métiers et industries de l’hôtellerie ou l’UMIH.
Par ailleurs, les posters informent que les victimes peuvent effectuer des échanges individualistes et anonymisés avec un policier ou un gendarme ayant été formé spécialement pour la campagne. Le QR code permet au sujet de tchater gratuitement 24 heures/24 et 7 jours/7. Ceci est fonctionnel après l’avoir scanné.
Des agents spécialisés sont mobilisés pour la sensibilisation
Le ministère annonce que la plateforme sera la direction de 32 policiers et 33 gendarmes formés spécialement pour la sensibilisation anti-GHB. Ces forces de l’ordre sont basées à Guyancourt (Yvelines) et Rennes (Ille-et-Vilaine). Par ailleurs, 404 intervenants sociaux se mobilisent sur le territoire en commissariat pour venir en aide aux victimes.
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