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Des dizaines de femmes ont été forcées de se déshabiller devant les caméras, agressées sexuellement et filmées dans des vidéos qui ont été vendues sur Internet, selon les enquêteurs français dans le cadre d’une enquête sur l‘industrie pornographique française.
L’enquête, rapportent Le Parisien et Le Monde, est menée par les gendarmes de la section de recherches de Paris et dure depuis plus de deux ans. En outre, l’enquête a concerné des acteurs, des producteurs et des réalisateurs et a mis en lumière la présence d’exploitation et de violences sexuelles sur le plateau. En outre, l’enquête a révélé que les femmes concernées avaient des expériences de vie difficiles ou des difficultés économiques.
Enfin, l’enquête a révélé que les personnes qui ont réalisé ces films pornographiques étaient un groupe de tortionnaires en série qui fournissaient ces vidéos aux grandes sociétés françaises de distribution de films pornographiques.
L’enquête a permis d’identifier plus de cinquante victimes présumées de violences sexuelles, d’inculper huit personnes et d’arrêter trois de celles qui faisaient déjà l’objet d’une enquête pour violences et exploitation sexuelles sur le plateau.
L’enquête – confiée à la juge Isabelle Durnerin – porte sur les types de délits suivants : viols collectifs, traite des êtres humains aggravée, diffusion d’images de violence sexuelle, blanchiment d’argent et travail au noir.
En effet, le taux d’incidence du Covid-19 progresse à l’arrivée de la saison du froid.
« Il faut vraiment regarder la composition et ne pas se fier aux informations figurant sur l'emballage telles que 'élimine 99 % des bactéries' ou 'produit naturel' ».
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