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Dans tous les pays, la contribution des immigrés sous la forme d’impôts et de cotisations est supérieure aux dépenses que les pays consacrent à leur protection sociale, leur santé et leur éducation », écrit l’OCDE sur l’impact budgétaire des immigrants.
De nos jours, les investissements publics en faveur des immigrés sont inférieurs à ceux du reste de la population dans des secteurs comme la retraite, la maladie, les incapacités, la scolarité et les soins de la personne. À l’inverse, elles sont plus élevées en matière de famille, de chômage, d’exclusion sociale et de logement selon le quotidien « LeParisien ».
« Individuellement, ils [les immigrés] sont plus au chômage, perçoivent plus d’allocations, c’est vrai. C’est le raccourci qui est souvent mis en avant pour dire qu’ils coûtent très cher à la France. Sauf que ce résultat individuel est compensé par une structure d’âge, avec des immigrés qui sont souvent dans la population active et qui donc cotisent beaucoup » souligne Lionel Ragot, professeur d’économie à l’université Paris Nanterre.
La tendance se retourne un peu quand on intègre dans cette estimation le budget de la défense et le remboursement de la dette publique, qui touchent non seulement les immigrés, mais la totalité des Français. À ce stade, le bilan devient négatif pour la France (-0,85 %) comme pour la moyenne des 25 pays étudiés (-0,16). L’OCDE a donc procédé à une démonstration : si le niveau d’emploi correspond à celui du reste de la population, les immigrés représentent un supplément de 0,2 % du PIB pour les finances publiques.
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