Au cours de la réunion spéciale du Conseil des droits de l’homme (CDH) sur l’Afghanistan, la Haute Commissaire aux droits de l’homme a pris une décision quasi bouleversante. Elle a indiqué que le fait pour les talibans de traiter des femmes sera une « ligne rouge ».
Les talibans ne doivent en aucun cas enfreindre les droits des femmes afghanes, car ceux-ci constituent une ligne rouge à ne pas franchir. Telle est la résolution publiée ce mardi par l’ONU. Cette ordonnance fut jugée insuffisante par plusieurs ONG et pays. Celle-ci pointe du doigt la « nécessité de mener en toute transparence des enquêtes rapides » sur toutes les allégations de violations des droits humains et du droit international humanitaire perpétré par les différents acteurs en conflit.
La décision prise par consensus au terme de la réunion extraordinaire du Conseil des droits de l’homme (CDH) sur l’Afghanistan ne comporte aucun mécanisme international d’investigation. C’est la principale insuffisance qu’ont relevée les ONG ainsi que certains pays notamment l’UE. Ils ont demandé à la Haute Commissaire Michelle Bachelet de fournir un rapport écrit au premier trimestre de l’année 2022. L’UE de son côté a déploré que le texte « ne soit pas à la hauteur des ambitions que la situation en Afghanistan exige ». Il regrette que la prescription prodiguée par l’OCI (Organisation Coopération Islamique) n’affiche aucune trace des talibans et refuse de solliciter une enquête internationale indépendante.
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