En Inde, plusieurs images et propos de nature à envenimer les conflits entre communautés ont été mis en avant.
Sujets couverts
Le géant de réseaux sociaux Facebook est de nouveau exposé aux critiques à cause de l’une de ses filiales WhatsApp.
Facebook et son rôle dans la divulgation de contenus haineux en Inde
En Inde, plusieurs images et propos de nature à envenimer les conflits entre communautés ont été mis en avant. Grâce à des documents internes, le rôle de Facebook dans la propagation de ces contenus est critiqué. Ces écrits ont été révélés par une lanceuse d’alerte nommée Frances Haugen. Un zoom sur les conséquences que peuvent avoir Facebook et ses filiales WhatsApp et Instagram sur la politique aux États-Unis avait déjà été fait.
Le week-end dernier, le Wall Street Journal, le New York Times et le Washington Post ont mis en avant l’existence de Facebook en Inde. Il s’agirait de son plus gros marché avec 340 millions d’utilisateurs.
Facebook conscient qu’en Inde la propagande de contenus haineux est en hausse
Selon le Wall Street Journal, les chercheurs de Facebook dans un rapport de juillet 2020 ont constaté que les contenus incendiaires ont considérablement augmenté. Pour résoudre ces problèmes, Facebook a envoyé des chercheurs à la rencontre des utilisateurs en Inde. En 2019, Facebook a mis en place le compte fictif d’une femme de 21 ans. Le compte a été noyé sous les propos haineux envers les musulmans.
Facebook réagit face au scandale
Au vu de ces révélations, Facebook déclare que depuis ces dernières années, la lutte contre ces propos est renforcée. Un porte-parole de la firme affirme que Facebook est en possession de technologies arrivant à détecter les propos haineux. Cette dernière assure que le nombre de ces genres de déclarations a baissé de moitié. Ce type d’allégation haineux ne concerne que 0,05 % des contenus dans le monde.
Laisser un commentaire