L'arrivée sur le marché d'un quatrième opérateur pourrait engendrer une suppression de 10 000 emplois chez ses concurrents.
L’arrivée sur le marché d’un quatrième opérateur pourrait engendrer une suppression de 10 000 emplois chez ses concurrents.
Et si l’arrivée de Free Mobile détruisait 10 000 emplois ? C’est en tout cas l’hypothèse émise par Jean-Ludovic Silicani, président de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes).
5000 à 10 000 emplois pourraient être supprimés par l’arrivée de ce quatrième opérateur mobile, concurrent direct d’Orange, SFR et Bouygues.
Jean-Ludovic Silicani a néanmoins précisé que ce chiffre excluait le nombre d’emplois créés par Free Mobile.
Les leaders du marché s’apprêtent donc à réduire leurs dépenses. SFR prévoit de « redéployer » son dispositif, et Bouygues va mener « un plan d’économies de 300 millions d’euros« .
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