Emmanuel Macron commence ce vendredi à inviter à l’Elysée les dirigeants des partis politiques et des groupes parlementaires, pour une série de dialogues. Ceci est fait dans le but de nommer un nouveau gouvernement, après plus d’un mois de la démission de Gabriel Attal, et un mois et demi après le deuxième tour des élections législatives anticipées. L’Elysée a assuré jeudi que Macron est du côté des français, garant des institutions et de leur vote, confirmant la nominantion d’un premier ministre suite à ces réunions qui débuteront mardi.
La coalition du Nouveau Front populaire, incluant les écologistes, La France insoumise, le Parti socialiste et le Parti communiste français, se rendra à ces réunions accompagnée de Lucie Castets, dont la présence a été approuvée par l’Elysée même si elle n’est pas parlementaire ni chef de parti.
Les représentants du camp présidentiel, ainsi que ceux de Union des démocrates et indépendants, des Républicains et du groupe centriste Libertés, indépendances, outre-mer et territoires seront également présents à ces réunions. Celles-ci se tiendront avant la réunion avec la Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella, ainsi que le parti d’Eric Ciotti, programmée pour lundi prochain.
Le récit rapporte une division au sein de la gauche suite à la proposition du parti de La France insoumise (LFI) d’une éventuelle mise en accusation d’Emmanuel Macron. Dans le décryptage, on se penche sur les raisons pour lesquelles certaines décisions adoptées à la suite des élections législatives sont contestées. Par ailleurs, Gérard Larcher a envoyé un avertissement à Emmanuel Macron en exprimant : « La France n’est pas un jeu ».
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