Alors que Jean Castex a proposé la création d'une instance de dialogue, mais Guadeloupe a préféré continuer à contester la décision de l'exécutif.
Bien que le gouvernement français insiste sur le retour de l’ordre en Guadeloupe, les violences se poursuivent toujours. La situation se dégrade en Guadeloupe et les manifestants s’attaquent aux forces de l’ordre dans la nuit du 23 novembre dans le voisinage. Alors que Jean Castex a proposé la création d’une instance de dialogue, mais Guadeloupe a préféré continuer à contester la décision de l’exécutif.
Manifestation en Guadeloupe : des policiers et pompiers sont visés
Selon la préfecture, la 5e nuit de violences en Guadeloupe est assez calme que ses précédentes. Par contre, cette nuit est marquée par les tirs à balles réelles de 9 mm visant les pompiers et les policiers à la Martinique malgré les renforts des forces de l’ordre. Ainsi, le ministère de l’Intérieur appelle à la surveillance de cette possible contagion. Il s’agit d’une mesure à exécuter au préalable de toute discussion. Par ailleurs, le parquet de Fort-de-France a déjà ouvert une enquête sur cet incident.
Une ville morte depuis le début des manifestations
Depuis que le mouvement de contestation de la vaccination obligatoire, rien ne va en Guadeloupe. En effet, la majorité des magasins sont fermés à l’exception des banques, des commerces alimentaires et des pharmacies. Les carcasses des voitures calcinées envahissent la route principale.
Depuis le début de la crise, plus de 90 interpellations et pas moins de 60 gardes à vue ont été enregistrées. Par contre, Guadeloupe reçoit l’aide de 250 gendarmes et policiers durant le weekend.
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