La police du Capitole a été mal préparée. Selon Washington Post, il y avait un manque de communication et de préparation de la sécurité du Capitole.
Sujets couverts
Le Washington Post dévoile les failles sécuritaires et l’inertie de Donald Trump face à l’invasion du Capitole, par une foule de partisans du 46e président des États-Unis, le 6 janvier 2021.
Assaut du Capitole : défaillances sécuritaires
Le FBI, principal service fédéral de renseignement intérieur, a reçu des milliers d’alertes à travers les États-Unis qui annoncent l’éventualité d’une prise du Capitole par une partie de l’extrême droite américaine. Cependant, le FBI a estimé que ces informations n’étaient pas crédibles et qu’il y avait peu de chances que cela se produise. D’un autre côté, la police du Capitole a été mal préparée. Selon Washington Post, il y avait un manque de communication et de préparation de la sécurité du Capitole.
Inaction de Donald Trump
Pendant un peu plus de trois heures, Donald Trump, dans sa salle à manger, « regarde le spectacle ». Il regarde ses partisans envahir le Capitole. Et malgré les supplications de ses conseillers, de ses alliés, de sa fille aînée et des législateurs attaqués, le président sortant refuse d’intervenir.
Alors que les émeutiers poursuivent leur occupation du Capitole, le leader républicain Kevin McCarthy a appelé le président Donald Trump à demander à ses partisans de mettre fin à leur action. Donald Trump reste inerte affirmant que ce ne sont pas ses partisans qui sont à l’œuvre.
Le pouvoir de la presse d’investigation
Les presses d’investigation constituent une vraie force dénonçant les dérives des dirigeants américains. Elles dénoncent, au bénéfice du peuple, les failles des services secrets. Elle se présente comme le maillon fort de contre-pouvoir aux États-Unis. Et face à une attaque contre la démocratie, Washington Post dénonce le comportement des différents acteurs de l’État (la police, l’armée et le président des États-Unis).
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