Cette rumeur a été propagée par deux jeunes filles que la Première dame a poursuivies devant le tribunal civil, selon une source judiciaire de l’AFP, confirmant une information de M6.
La Première dame a été victime de fausses rumeurs sur la toile. Deux femmes l’annonçaient comme une femme transgenre. L’épouse du Président de la République assigne celles-ci en justice.
Brigitte Macron serait née homme et s’appelle véritablement « Jean-Michel Trogneux ». Voilà l’intox qui se propage aujourd’hui dans les réseaux sociaux. Cette rumeur a été propagée par deux jeunes filles que la Première dame a poursuivies devant le tribunal civil, selon une source judiciaire de l’AFP, confirmant une information de M6. La première dame de France avait déjà fait part à BFMTV de sa décision de déposer plainte en décembre.
Brigitte Macron, née Trogneux, serait en réalité une femme transgenre
La rumeur s’était rapidement répandue sur Twitter. Et il n’a pas fallu longtemps à l’extrême droite pour relayer l’intox sur le réseau social, où elle a fait le buzz pendant plusieurs jours. Les deux femmes en question avaient retransmis sur la chaîne YouTube une entrevue au cours de laquelle un « médium » déclarait que Brigitte Trogneux (son nom de jeune fille) n’était en fait jamais venue au monde, et que finalement le frère de cette dernière avait réussi à devenir une femme en prenant le patronyme de Brigitte.
Brigitte Macron a choisi d’assigner en justice
Confrontée à cette fausse nouvelle, Brigitte Macron de son côté a assigné ces deux citoyennes devant la cour judiciaire de Paris. Dans cette démarche civile, la première audience est prévue le mercredi 15 juin prochain devant la 17e chambre du tribunal de Paris, a précisé la source judiciaire. « L’action civile au fond de Brigitte Macron s’appuie sur le fondement des dispositions du Code civil relatives à la vie privée », a ajouté l’informateur.
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