Susan Boyle s’est pliée aux désirs de son père.
Plus jeune, elle n’a pas eu le droit de fréquenter des garçons.
Pourtant elle a été amoureuse d’un jeune homme appelé John, qu’elle avait rencontré lors d’un mariage alors qu’elle avait la vingtaine.
Sept semaines de chaste romance, se tenir les mains, un bisou dans le cou jusqu’à un fameux appel pris par son père.
Ce dernier a ruiné les espoirs de John et de Susan lui indiquant qu’elle n’était pas prête pour avoir un petit ami.
Pourtant, même après avoir goûté aux joies de l’amour, même chaste, Susan Boyle n’en a jamais voulu à son père.
Elle nous en fait part dans son livre, The Woman I Was Born To Be, comprenant qu’il ne voulait pas qu’elle souffre.
Mais cette séparation l’a fait souffrir, comme toute personne découvrant l’amour, les fameux papillons dans le ventre, le plaisir d’une nouvelle rencontre, de donner les mains à une personne étrangère à la famille, de se faire embrasser.
Source : inquisitr
Laisser un commentaire