Plongé deux fois dans le coma à Los Angeles, Johnny Hallyday n’a jamais été en danger de mort selon le dossier détenu par le Cedars-Sinai de Los Angeles.
Ce coma artificiel dans lequel il a été plongé aurait permis de ne pas aggraver ses problèmes respiratoires et une dépendance à l’alcool.
Lors de sa toute première venue aux urgences, l’interne qui a examiné le chanteur a suspecté une infection post-opératoire avec un patient extrêmement agité et qui tournait en rond.
Sa dépendance à l’alcool aurait fait que Johnny Hallyday n’aurait pas pu guérir sans être plongé dans le coma.
Le but était de le protéger et de le soulager car la plaie de la hernie discale s’était infectée de manière gravissime.
Aujourd’hui, Johnny Hallyday doit passer une série d’expertises médicales à Paris pour déterminer les responsabilités.
A sa sortie de l’hôpital de Los Angeles, il lui a été conseillé de consulter un médecin pouvant l’aider à dire adieu à sa dépendance à l’alcool.
Source : leparisienPUBLICITÉPUBLICITÉ
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