Comme si cela ne suffisait pas, un nouveau coup dur ou la foudre s’abat à nouveau sur John Galliano.
Licencié par la maison Dior à qui il a redonné ses lettres de noblesse et tout son prestige, le couturier avait été licencié car il avait tenu des propos racistes et antisémites.
John Galliano est, maintenant, dépossédé de son nom.
Après 17 ans de dur labeur, la maison John Galliano, détenue à 91% par Christian Dior, ne lui appartient plus.
Il en a été évincé par le conseil d’administration.
On ne sait pas ce qu’il va advenir de cette maison.
On parle de rachat par des groupes italiens, même si cela ne semble pas à l’ordre du jour.
Quoi qu’il en soit, tout s’acharne contre John Galliano.
Le 12 mai, nous devrions savoir à quelle date il doit comparaitre devant la justice pour savoir s’il est coupable ou non suite aux deux plaintes déposées.
Par ailleurs, de retour à Los Angeles après sa cure de désintoxication et un séjour à Marrakech, John Galliano s’est fait copieusement insulté par un photographe.
C’est le propre de l’humain de tirer sur quelqu’un à terre.
Mais là, c’est de plus en plus hallucinant.
John Galliano n’est pas encore reconnu coupable même si de fortes présomptions pèsent sur lui.
Laissons faire la justice avant de juger quelqu’un coupable.
Ce qui me sidère, en définitive, c’est que John Galliano a tout perdu.
Ce sera difficile pour lui de retrouver son énergie pour créer à nouveau des pièces formidables, mais surtout un employeur.
Source : purepeople
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