Ni l’un ni l’autre ne se rendra au Festival.
Bertrand Cantat réduit au silence, Jean-Louis Trintignant enfermé dans sa peine.
Chacun chez soi.
Le Festival d’Avignon se serait bien passé d’une telle publicité.
Les déclarations du clan Trintignant, de François Cluzet au père de Marie, Jean-Louis sont largement compréhensibles.
Mais quand les victimes se transforment en juges, la justice vacille.
Condamner Bertrand Cantat au silence artistique c’est l’enfermer à vie dans sa culpabilité, sans issues possibles.
Nous ne sommes pas sûrs que tout cela profite à l’esprit du Festival, en tant que lieu d’expression.
Il devra se priver de deux talents qui ont malheureusement goûté à la tragédie humaine, mais en dehors des planches.
Source : PurePeople
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