Situation absurde en France : une femme est morte du Covid parce qu'elle a menti sur le fait d'avoir reçu le vaccin. Elle avait aussi un faux pass sanitaire.
Une histoire absurde en France : une femme est morte parce qu’elle a menti sur le fait qu’elle avait reçu le vaccin anti-Covid à l’hôpital.
France, une femme non vaccinée meurt pour avoir menti sur le vaccin
Une Française de 57 ans a menti jusqu’au tout dernier moment.
Elle a raconté à tout le monde qu’elle avait été vaccinée, même si c’était faux. Elle l’a fait jusqu’à sa mort, causée par le Covid, alors qu’elle se trouvait à l’hôpital de Garches de Paris.
La femme avait réussi à échapper aux contrôles parce qu’elle possédait un faux pass sanitaire « certifiant » les deux doses de vaccin. Son mari a ensuite avoué que l’homme de 57 ans avait acheté le faux certificat pour 200 euros.
France, Aucun vax n’est mort pour avoir menti sur le vaccin : paroles de médecins
L’entêtement de cette femme lui a été fatal, tout comme sa conviction qu’elle pouvait se passer du vaccin. Les médecins qui l’ont soignée ont commenté l’incident :
« Si nous avions su que le patient n’était pas vacciné, nous aurions immédiatement modifié le traitement. Vu son âge et la gravité de son état, nous aurions pu lui donner des anticorps monoclonaux.
Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital Garches, a également déclaré :
« Lorsqu’une personne se présente à l’hôpital ou aux urgences, elle doit toujours être honnête et franche. Il doit y avoir une relation transparente entre le médecin et le patient. Nous ne sommes pas là pour juger mais pour prendre soin de tous, même de ceux qui ne sont pas vaccinés.
France, Aucun vax n’est mort pour avoir menti sur un vaccin : l’affaire des faux pass sanitaire
Comme indiqué plus haut, la femme avait acheté le pass sanitaire illégalement, probablement avec le soutien d’un autre médecin No vax.
En France, en général, la situation des faux pass sanitaire est assez grave
L’assurance maladie de France a découvert plus de 36 000 faux pass vendus à des prix exorbitants sur Internet ou par des médecins peu scrupuleux. Les autorités ont lancé 400 enquêtes sur des réseaux fournissant de faux certificats, et les contrevenants risquent une peine de prison ainsi qu’une lourde amende.
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