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Des combats entre les forces russes et ukrainiennes sont également en cours à la centrale nucléaire non armée de Tchernobyl : c’est ce que rapporte un conseiller du ministère de l’Intérieur de Kiev cité par Nbc. Au cours des affrontements, « une installation de stockage de déchets nucléaires a été détruite », selon le rapport.
Le ministère ukrainien de l’intérieur cité par Nbc confirme les combats à Tchernobyl, et précise que les installations de stockage des déchets sont actuellement intactes, bien qu’elles risquent d’être détruites.
Les soldats ukrainiens « sacrifient leur vie pour éviter un second Tchernobyl ». C’est ce qu’a écrit le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, sur Twitter, après avoir annoncé que des soldats russes tentaient de prendre le contrôle de la centrale nucléaire.
Une déclaration de guerre contre l’ensemble de l’Europe ». C’est ainsi que le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, a décrit l’attaque russe sur le site de l’Union européenne.
Une nouvelle alarme liée à la centrale nucléaire de Tchernobyl (le lieu de la plus grande catastrophe nucléaire civile) après que certains physiciens nucléaires aient tiré la sonnette d’alarme en mai dernier au sujet de la vieille centrale, où le réacteur 4 (le lieu de la principale explosion en 1986) avait montré des signes de réveil sous l’impressionnant sarcophage qui recouvre la centrale pour empêcher les fuites radioactives.
« L’une des zones d’où sont parties les troupes russes est la frontière entre le Belarus et l’Ukraine. L’usine se trouve à quelques kilomètres de la frontière et à 150 km de Kiev. Une situation incandescente. Il est très dangereux qu’il y ait une centrale nucléaire à cet endroit, car n’importe quelle situation militaire pourrait envoyer de nouvelles quantités de radionucléides dans l’atmosphère. Un sarcophage a été construit pour couvrir le quatrième réacteur, et récemment la fameuse « arche » a été construite pour le couvrir davantage, mais il y a toujours un cœur actif et un niveau de contamination très élevé.
« C’est une cible très sensible, jusqu’à présent en quelque sorte protégée par l’État ukrainien, et qui continue de représenter une bombe à retardement. En faire un théâtre de guerre est très dangereux, on ne peut pas jouer avec l’énergie nucléaire. Nous sommes très inquiets », a souligné M. Gentili, « le danger est sans précédent« . Je voudrais espérer qu’il n’y a pas de fureur dans cette zone. Il n’y a pas de personnes qui y vivent, et il y a une ceinture de sécurité protégée par les autorités, mais s’il y a une guerre, il y a un risque de perdre toute une série de paramètres sanitaires. Cette situation doit également être prise en compte d’un point de vue international. »
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.