Jean-Marc Bonfils, architecte français installé dans la capitale libanaise, est mort lors des explposions à Beyrouth. L’homme vivait dans la capitale libanaise, où il avait pris part à des projets de restauration de bâtiments détruits par la guerre.
L’architecte a perdu sa vie lors des explosions qui ont dévasté la capitale du Liban. Diplômé de l’école d’architecture de Paris-Villemin et de l’école du Louvre, en histoire de l’art, l’homme a participé à des travaux de restauration dans la ville, dètruite par la guerre. Selon le quotidien L’Orient-Le Jour, Jean-Marc Bonfils était en train de filmer la première explosion en direct sur Facebook, lorsqu’il a été tué par la seconde.
Ghassan Hajjar, ami de l’architecte, éxplique que Jean-Marc est décédé dans son appartement, qui se trouvait dans un immeuble qu’il avait conçu lui-même et pour lequel il avait obtenu un prix international. Hajjar ajoute que son ami était « une belle âme, un homme brillant, un architecte de renom au Liban ». Aussi la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, lui rend hommage avec un message publié sur son compte Twitter.
Selon le bilan provisoire du ministère de la Santé libanais, dans la catastrophe de Beyrouth au moins 113 personnes sont décédés et 4000 ont été blessées, dont au moins 21 Français, selon le parquet de Paris.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.