Sujets couverts
Après les fortes explosions qui ont secoué le port de Beyrouth, mardi 4 août, plusieurs Pays ont décidé d’envoyer leurs aides et solidarité à la capitale dévastée. Parmi eux, on trouve la France.
La France a tout de suite démontré sa solidarité à la capital du Liban, détruite par les explosions : des éléments français de la FINUL (Force intérimaire des Nations unies au Liban) sont intervenus dès mardi soir dans Beyrouth. Sur Twitter, le président Emmanuel Macron a annoncé que la France va envoyer un détachement de la sécurité civile de 55 personnes et 15 tonnes de matériel sanitaire. L’équipe et les matériaux partiront de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, mercredi 5 août. Le président ajoute que « Des urgentistes vont également rejoindre Beyrouth au plus vite pour renforcer les hôpitaux ».
Nombreaux des Pays ont tendu la main à Beyrouth, en envoyent, plus concrètement aide sanitaire et assistence, mais aussi solidarité, prières et pensées. « Le Royaume-Uni est prêt à apporter son soutien de toutes les manières possibles, y compris aux ressortissants britanniques touchés », a tweeté Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
Aussi Mohammad Javad Zarif, ministre iranien des Affaires étrangères, a exprimé le soutien de son pays au peuple du Liban. Les propositions d’aide sont arrivées de multiples autres pays, dont les États-Unis (via le secrétaire d’État Mike Pompeo), et l’Allemagne, de la part de la chancelière Angela Merkel.
Le ministère de la santé a fait état d’au moins 78 morts. Selon le dernier bilan de la Croix-Rouge libanaise, plus de 100 personnes ont perdu la vie et plus de 4000 ont été blessées. Néanmoins, le nombre pourrait augmenter. La situation des hôpitaux de la capitale, qui sont déjà débordés à cause du Coronavirus, est très grave.
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