Nuit d’affrontement à Belgrade en raison de la décision d’un nouveau confinement pour le Coronavirus.
Une nuit d’affrontement a éclaté à Belgrade à cause du nouveau confinement du Coronavirus. L’annonce du président serbe Aleksandar Vučić a déclenché une forte protestation et les gens ont décidé de descendre dans la rue pour faire comprendre qu’ils ne sont plus disposés à accepter des limitations.
Le président a annoncé qu’il y aurait un couvre-feu pour tout le week-end et des milliers de personnes sont descendues dans la rue. 23 personnes ont été arrêtées et des dizaines de manifestants et de policiers ont été blessés.
El presidente de #Serbia, Aleksandar #Vucic, ha informado este martes de que a partir de este viernes se volverá a imponer el toque de queda en todo el país para hacer frente a un incremento de los casos de #coronavirus. https://t.co/frjQrXPBxx pic.twitter.com/8hXbbxjpJM
— Atlantide (@Atlantide4world) July 7, 2020
Coronavirus, affrontements à Belgrade
Le président Vučić a annoncé le couvre-feu tout le week-end prochain et l’interdiction de rassemblement avec plus de cinq personnes à l’intérieur et à l’extérieur. Cette annonce a déclenché une nuit d’affrontements à Belgrade. Les nouvelles mesures restrictives pour contenir une nouvelle vague de contagion ont déclenché une véritable bataille devant le Parlement serbe. Les manifestants ont essayé de forcer les entrées et de faire irruption, et un petit groupe d’entre eux a réussi, en évitant les policiers antiémeutes, qui ont répondu au lancement de pierres et de bouteilles avec des lacrymogènes.
Après l’annonce par le président de nouvelles restrictions pour contrer l’urgence due au Coronavirus, la situation a définitivement dégénéré. Un groupe de manifestants a réussi à entrer au Parlement, mais la police a réussi à arrêter la foule en utilisant des gaz lacrymogènes. La Serbie a eu 16.168 cas de Coronavirus, avec 330 morts, mais les chiffres sont en augmentation.
Le premier confinement dans ce pays n’a pas suffi, bien qu’ils aient été les premiers à décider de fermer les écoles jusqu’à la fin de l’année, c’est pourquoi le président a été contraint à de nouvelles mesures restrictives.
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