En Amérique Latine, le Coronavirus est aujourd’hui totalement hors de contrôle : la pandémie connaît une croissance exponentielle. Le nombre d’infections a franchi 1,5 million et le nombre de morts est de 73 600, dont 40 000 rien qu’au Brésil. Mais la courbe ne veut pas vraiment ralentir.
Le cas du Brésil, où plus de 100 000 personnes infectées ont été infectées en seulement trois jours, est sans aucun doute préoccupant. L’État dirigé par Bolsonaro contribue au budget global de l’Amérique Latine avec la moitié des personnes infectées (802 828) et 60% des morts (40 919). La situation dans les autres régions est la suivante : le Pérou avec 214 788 personnes infectées et 6 109 morts, le Chili (154 092 et 2 648) et le Mexique (129 184 et 15 357). Six autres pays (Équateur, Colombie, Argentine, République dominicaine, Panama et Bolivie) ont plus de 10 000 infectés et 400 morts.
Le présent incertain sera suivi d’un avenir complexe. En fait, au-delà des données sur la santé, c’est aussi la situation économique d’un secteur déjà complexe de la région. Les économies de ces pays sont fortement paralysées et en récession : avec plus de 200 millions de pauvres, à la fin de 2,6 millions d’entreprises, la pandémie de Coronavirus en Amérique Latine fait craindre aux experts la perspective de perdre une nouvelle décennie.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.