La justice égyptienne a officiellement interdit les « activités » des Frères musulmans, lundi 23 septembre.
Le tribunal du Caire a d’autre part confisqué la totalité des biens des islamistes, nouveau signe de la volonté des autorités d‘éradiquer l’influente confrérie de la scène politique après l‘éviction par l’armée du président Mohamed Morsi, issu de cette confrérie.
L’armée bénéficie d’un large soutien de la part des opposants à l’ancien président. Ils avaient été les premiers à s’en prendre aux quartiers généraux des frères musulmans quelques jours avant le renversement militaire. Les autorités mises en place depuis par l‘état-major proposent de réformer la constitution.
« L’amendement peut être partiel ou bien total. Une chose est sure, le comité opte actuellement pour un changement total de la constitution », a indiqué le porte-parole du comité constitutionnel Mohamed Salmawy.
Laisser un commentaire