Selon une étude de la revue britannique Annals of Oncology, le cancer du poumon pourrait devenir dans les prochaines années le plus meurtrier pour les femmes européennes.
Si pour les hommes, le taux de mortalité du cancer du poumon serait en chute libre, il serait en revanche en hausse pour les femmes en 2013, en comparaison aux chiffres d’il y a quatre ans. Si le cancer du sein devrait continuer de faire des ravages cette année, malgré des estimations légèrement inférieures aux chiffres de 2009, c’est bien le cancer du poumon qui, à en croire Carlo la Vecchia, l’un des chargés de cette étude, causerait le plus grand nombre de décès d’ici 2015.
En Europe, ce constat serait déjà visible en Pologne et au Royaume-Uni et risquerait ainsi de se retrouver dans bon nombre de pays. D’après les analyses effectuées, ce sont les conséquences d’un tabagisme accru qui pourraient expliquer en grande partie ce bouleversement annoncé pour cette maladie. En revanche, la bonne nouvelle viendrait du fait que la courbe du nombre de décès dû au cancer du poumon pourrait s’inverser dès 2020.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.