Washington a lancé un avertissement contre le président syrien Bachar al-Assad, Barack Obama laissant entendre qu’une intervention militaire n'était pas exclue.
Washington a lancé un avertissement contre le président syrien Bachar al-Assad, Barack Obama laissant entendre qu’une intervention militaire n’était pas exclue.
» Nous l’avons dit clairement au régime d’Assad mais aussi aux autres acteurs sur le terrain : la ligne rouge pour nous, c’est le déplacement ou l’utilisation des armes chimiques. Cela changerait mes calculs, cela changerait l’équation « , a ainsi déclaré le président américain.
Des propos contrastant avec ceux de Serguei Lavrov, le patron de la diplomatie russe, prononcés hier aussi : » Nous croyons encore que si toutes les parties impliquées dans le conflit syrien approuvent l’accord signé à Genève en juin, alors cela arrêtera la violence et nous pourrions commencer une négociation sur la façon dont un gouvernement provisoire peut être mis en place dans le pays. Nous irions alors vers une solution qui pourrait sauver de nombreuses vies « a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères.
De son côté, François Hollande continue de plaider pour un départ rapide de Bachar al-Assad.
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