Les Brigades rouges, mouvement activiste de gauche italien, ont formellement démentis être les auteurs de l’attentat devant un lycée de Brindisi.
C’est dans un communiqué envoyé à l’agence de presse italienne Ansa que les Brigades rouges ont fait savoir à la presse qu’ils n’étaient pas responsables de l’attentat de Brindisi qui a coûté la vie à une jeune lycéenne de 17 ans la semaine dernière.
Dans ce courrier, ils annoncent que leurs « cibles ne sont certainement pas les étudiants et les travailleurs. Nos combattants en visent d’autres : les patrons, la classe au pouvoir, les banquiers et les prostitués du régime étatique« .
Les Brigades rouges, Brigate Rosse en italien, se sont fait connaître dans les années 70 en Italie lors des « années de plomb » en perpétrant des actions coup de poing, notamment par des homicides de personnalités politiques, de dirigeants de grandes entreprises et par divers attaques à la bombe contre des bâtiments administratifs.