Anders Behring Breivik qui avait tué 69 personnes en tirant sur un rassemblement de jeunes sur l’île d’Utoeya, aurait, selon une rescapée, poussé des cris de joie en commettant son atrocité.
L’homme nie pourtant toute démonstration d’allégresse » Pourquoi aurais-je ri quand j’étais là-bas? Ce n’est pas vrai. C’était horrible. Je ne souriais pas « .
Mais la jeune femme de 24 ans, entendue par le tribunal d’Oslo est affirmative, » Je suis absolument sûre que j’ai entendu des cris de joie « .
Ayant échappé au pire caché dans le recoin d’une falaise, Tonje Brenna garde des souvenirs précis de ce jour noir.
» De tous les côtés, des gens tombaient. On entendait les gens tomber dans l’eau ou sur les pierres. Il y avait des appels à l’aide. Les téléphones portables sonnaient en permanence «
L’extrémiste qui tient à être jugé sain d’esprit encours une peine de 21 ans de prison reconductibles.