Le ministre de l’Éducation nationale a pendant longtemps été accusé de faire preuve de laxisme dans ses sanctions à l’encontre des harceleurs.
Alors qu’il était l’invité d’Europe 1 au lendemain de la marche à la mémoire de Dinah, le ministre français de l’Éducation nationale a été amené à réagir au suicide de Dinah. La jeune fille âgée de 14 ans s’était donné la mort dans sa chambre à la suite des harcèlements qu’elle aurait subis venant de la part de ses camarades du lycée.
Le ministre se prononce sur les mesures pour sanctionner le harcèlement en milieu scolaire
Le dimanche 24 octobre dernier, il y a eu une marche dans les rues du centre-ville de Mulhouse pour rendre un dernier hommage à Dinah. Jean-Michel Blanquer de même n’a pas manqué d’exprimer son soutien à la famille de Dinah au micro d’Europe 1. Le suicide de la jeune fille étant la conséquence des harcèlements qu’elle aurait subie au lycée, le ministre a tenu à interpeller la vigilance de tous vis-à-vis de ce problème qui ne cesse de prendre de l’ampleur en milieu scolaire. Il s’est ensuite prononcé sur les rigueurs mises en place à l’encontre des harceleurs.
Les auteurs de harcèlement sont toujours punis
Le ministre de l’Éducation nationale a pendant longtemps été accusé de faire preuve de laxisme dans ses sanctions à l’encontre des harceleurs. Il a cependant insisté sur le fait que les mesures prises à l’encontre de ces individus depuis trois ans déjà étaient à juste titre. « De la prison ferme pour des élèves qui se sont battus ça me paraît excessif » a-t-il ajouté.
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