Sujets couverts
Il est prévu un nouveau protocole de niveau 2 pour la rentrée scolaire pour tous les écoliers, collégiens, lycéens et professeurs de France métropolitaine. Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education Nationale, et Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement ont promis « une rentrée la plus normale possible« .
Ils sont 12,4 millions les élèves qui qui reprendront ou commenceront leur scolarité en France.
Cette rentrée 2021 sera accompagné d’un nouveau protocole sanitaire, de niveau 2, pour faire face l’épidémie de Covid-19.
Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education Nationale, et Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement ont commenté la rentrée à l’école. Ils ont promis aux jeunes Français « une rentrée la plus normale possible ».
Ils veulent rassurer les élèves qui sont à nouveau mis à l’épreuve par une année scolaire encore affectée par le Covid-19.
L’Education nationale a mis en place quatre protocoles sanitaires, en fonction de la circulation du virus.
Maintenant, pour la rentrée à septembre 2021, le protocole de niveau 2 a été choisi. Cela n’implique pas les mêmes règles au primaire ou au secondaire, selon l’âge des élèves ou leur statut vaccinal.
Désormais, il sera possible de vacciner tous les enfants de plus de 12 ans dans les propres établissements scolaires, tels que les collèges et les lycées. En fait, on les appellera « sorties vaccination ». Ces opérations vont durer jusqu’aux vacances de la Toussaint et seront gratuites, selon le ministre de l’Education nationale.
Dans les Antilles et en Guyane la rentrée en école était initialement prévue le 2 septembre. Mais comme il y a des zones rouges, il ne sera pas possible de commencer avant le 13 septembre. Malheureusement, Outre-mer la situation sanitaire est encore très grave.
La Commission européenne a conseillé de souhaiter de "bonnes vacances" au lieu de "joyeux Noël". Mais pourquoi cette demande ? Découvrons-le ensemble
Les violentes protestations se poursuivent au Chili: la mort de Daniela Carrasco est toujours entourée de mystère, alors que "Ni una menos" accuse la police de torture.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.