« Payés pour servir, pas pour mourir » est le slogan de la manifestation des policiers à Paris. Ils ont organisé la manifestation sur un podium devant l’Assemblée nationale. Les syndicats, qui espèrent réunir environ 30 000 personnes, ont organisér ce rassemblement après le meurtre d’Eric Masson, tué le 5 mai au cours d’une intervention sur un point de deal à Avignon.
Jacques, un fonctionnaire parisien, affirme que la violence contre les policiers est actuellement trop importante. Il dit aussi que la réponse pénale n’est pas suffisante pour proteger les militaires. Un autre a dit qu’il n’y a plus de respect du policier, et il a peur pour les agents.
Aussi des personnes normales ont participé à la manifestation. Elles veulent soutenir les policiers, qu’ils font un travail en première ligne, malgré le manque de moyens.
Selon le ministère de l’Intérieur, 8 719 policiers ont été blessés en mission en 2020. Le nombre était de 11 217 en 2019, à cause du mouvement des Gilets jaunes et ses nombreuses manifestations.
Les syndicats veulent « plus de sévérité pour les agresseurs de policiers ». Le Premier ministre Jean Castex a promis d’étendre à 30 ans la période de sûreté pour les personnes qui ont commise un crime contre un policier.
Les syndicats contestent la mise en œuvre de peines minimales pour les agresseurs de forces de l’ordre. Ils veulent que ces peines ne seront plus consitutionelles.
Ils ont aussi organisé le rassemblement devant l’Assemblée nationale pour rappeler aux élus qu’ils « doivent légiférer pour arrêter les attaques contre les policiers ». Les syndicats demandent également les peines pour les agresseurs soient effectuées.
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