Pour lutter contre la propagation du Covid-19, les commerces non-essentiels sont fermés depuis longtemps, et ils risquent la liquidation. Donc, pour demander la réouverture de leurs boutiques de lingerie, une centaine de commerçants a participé à l’opération « Action culottée ». Cette proteste consiste à envoyer au Premier ministre Jean Castex des petites culottes.
Dans un communiqué de presse, les propriétaires de boutiques de lingerie demandent que les sous-vêtements soient classés parmi les produits essentiels. Ils ont affirmé que les culottes sont la première chose que nous enfilons le matin. En outre, ils ont aussi dit que les culottes sont une question d’hygiène et de protection, donc elles sont essentielles.
Au total, près de 80 petites culottes ont été envoyées au Premier ministre.
Les commerçants demandent aussi une explication concernant l’ouverture des rayons lingerie dans les grandes surfaces. Ils ont dit que le risque de transmission du Covid-19 n’est pas plus élevé dans les commerces indépendants. Ils peuvent réguler le flux de clients de façon précise. Au même temps, les grandes surfaces sont ouvertes et elles accueillent du public souvent sans respecter les règles et la distanciation sociale.
Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, a affirmé que la réouverture des commerces non-essentiels est toujours prévue pour mi-mai.
Une tentative d'effraction peut laisser les propriétaires vulnérables et anxieux. Savoir comment réagir immédiatement après un tel événement est crucial pour sécuriser votre espace et aider à l'enquête.