La proposition de loi « Sécurité globale » a été adoptée par le parlement jeudi 15 avril. Cette proposition de loi a été très contestée parce qu’elle pénalise la provocation à l’identification des forces de l’ordre. L’Assemblée nationale a voté le texte par 75 voix pour et 33 contre. La gauche a communiqué son intention d’aller au Conseil constitutionnel. Cette proposition de loi a aussi provoqué beaucoup de manifestations.
Les organisations de journalistes ont largement contesté l’article 24, qui, au contraire, est soutenu par les syndicats policiers. Cet article veut protéger les forces de l’ordre en pénalisant la diffusion de leur image. La mesure a été réécrite pour la faire sortir du droit de la presse. Ceci pour apaiser ceux avaient peut d’une atteinte à la liberté de l’information.
Jean-Michel Fauvergu, un des rapporteurs du texte, a dit que: « Il a été assez aisé et assez rapide de se mettre d’accord« .
Donc, même si l’article 24 a fait naître de l’incompréhension, « il existe toujours « . L’article a été créé parce que les visages et les noms de policiers ont été affichés dans des immeubles en guise de menace.
Alexis Corbière, de LFI a défini cette loi « un texte d’insécurité globale car il jette de la suspicion sur la police » et empêche la « critique citoyenne ». Le communiste Stéphane Peu a peur d’une « ubérisation » de la sécurité au service des plus riches.
Ian Boucard (LR) a regretté que le parti de gauche ait limité la portée du texte à quelques mesures techniques.
La Modem Isabelle Florennes a regretté le parcours chaotique mais son groupe au Parlement a majoritairement donné son feu vert à la loi « Sécurité globale ».
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.
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112 votants sur 577 députés ????? Pas de télétravail ?