Le démarrage de l’enseignement à distance a provoqué une avalanche de réactions sur Twitter. Des connexions impossibles ont causé un afflux de messages d’enseignants et de parents en colère. Des difficultés qui ne sont pas acceptables après un an de confinement. Les bugs enregistrées le premier jour d’école à la maison sont liés à une attaque informatique. Le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, a dit que cet attaque est en provenance de l’étranger.
Beaucoup de parents ont dit qu’était impossible de se connecter au site des écoles. Parents et professeurs ont trouvé ce message sur leurs écrans: « Pour permettre à chacun d’accéder à son réseau éducatif dans de bonnes conditions, nous avons limité le temps des sessions et instauré une logique de quota. Quand le nombre d’utilisateurs maximum est atteint, il vous faut patienter pour y accéder à votre tour. Revenez et essayez à nouveau d’ici quelques minutes ».
Les syndicats ont dit que partout il y a eu des difficultés de connexion, mais surtout en Ile-de-France, les Hauts-de-France, la région Grand Est, l’Occitanie, le Centre et la Normandie.
Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education, a précisé que ces problèmes dépendaient des collectivités locales. Il a aussi dit que les difficultés étaient causées par un opérateur privé qui a connu un incendie è Strasbourg. Donc cet operateur ne pouvaient pas faire face à l’afflux de connexions. Mais le ministre espère que les collectivités locales, avec les opérateurs privés, vont rétablir cette connexion.
Des bugs ont concerné le dispositif « Ma classe à la maison ». Sur ce problème, le ministre de l’Education a affirmé que des attaques informatiques de l’étranger ont empêché les serveurs de fonctionner. Jean-Michel Blanquer a donc suggéré aux élèves, parents et enseignants d’utiliser d’autres ressources qui sont en ligne.
Il espéré aussi de résoudre les problèmes rapidement, parce qu’il a dit que:que: « Le système d’enseignement à distance était fait pour fonctionner ».
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.