Le gouvernement s’est dit prêt à envisager un assouplissement des restrictions visant les cérémonies religieuses à partir du 1er décembre, à condition d’adopter des règles strictes, et que les conditions sanitaires soient favorables.
Le gouvernement français a donné son accord ce lundi 16 novembre, à une reprise des cérémonies religieuses avec public à partir du 1er décembre mais à deux conditions : le respect d’un nouveau protocole sanitaire au sein des lieux de culte et une évolution favorable de la situation de l’épidemie.
C’est ce qui découle d’une rencontre, en visioconférence, entre responsables catholiques, protestants, orthodoxes, juifs, musulmans et bouddhistes et le Premier ministre Jean Castex et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Comme en mai au moment du déconfinement dans les églises, temples, synagogues, mosquées, le texte définitif donnera des » précisions sur les procédures de reprises : le nombre de mètres carrés autour d’un fidèle, la jauge, mais aussi la possibilité de vivre des activités autres que la célébration du culte, comme les réunions d’églises, les conseils de paroisse, la catéchèse ».
La CEF a pour sa part déjà transmis une proposition de protocole : occupation « d’un tiers » d’une église par exemple, et « 4 mètres carrés » autour d’un fidèle. L’épiscopat catholique a dit « mesurer l’impatience de beaucoup de fidèles », tout en soulignant que « l’Église participe de l’effort national de lutte contre l’épidémie« . « Je sais les difficultés et les contraintes qui s’imposent aujourd’hui aux croyants« , a déclaré Jean Castex, peu après la rencontre, sur son compte Twitter.
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