Le cas du porte-avions Charles de Gaulle avait troublé le gouvernement : nouvelles implications démontrent que le virus était à bord avant l’escale à Brest. Le Coronavirus semble être arrivé à bord de Charles de Gaulle avant l’escale à Brest. Le cas du porte-avions de la marine française est saisissant. Le nombre d’infections à bord a considérablement augmenté, faisant du porte-avions une île flottante infectée.
Pendant quelque temps, on ne pouvait que spéculer sur la provenance de la contagion. Christian Cambon, président de la commission de la Défense de l’Assemblée nationale s’était exprimé. Il n’est pas compréhensible que les militaires ne bénéficient pas de tests avant leur départ en mission, pour leur sécurité mais aussi pour l’efficacité opérationnelle, a-t-il déclaré.
Des clarifications semblent être arrivées et la ministre de l’Armée a assuré que le Coronavirus était à bord avant même l’arrêt à Brest. L’escale en question a eu lieu en mi-mars et selon Florence Parly, le virus mortel était déjà à bord. Le commandement du porte-avions a certainement donné trop de confiance dans la capacité du navire à combattre le Coronavirus.
Même le personnel médical a sous-estimé le danger que couraient les militaires. Le ministre Parly tient toutefois à souligner que la sous-estimation du danger ne s’est pas accompagnée de blâme ou de graves erreurs. Les deux tiers de l’équipage étaient infectés, c’est pourquoi une enquête a dû être faite.
La conclusion de l’enquête a été remise à l’Assemblée nationale. Semble être certain que le Coronavirus salue à bord du porte-avions en Méditerranée. Donc, avant même l’arrêt de Brest qui l’a réintroduit une fois de plus. Informations utiles pour suivre la situation d’urgence sur le territoire français.
Dans l’intervalle, la France commence le déconfinement le 11 mai, comme annoncé par Édouard Philippe. Le mot de passe est une précaution, la réouverture doit être progressive et éviter le risque d’une deuxième vague d’infections. Le nombre d’infections et de décès montre une lueur d’espoir, qu’il faut affronter avec prudence.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.