Il s’agit de la sixième semaine de confinement à cause du Coronavirus qui la France vit. Malgré les précautions prises et la quarantaine obligatoire, le virus reste très meurtrier. Malheureusement, le directeur général de la santé a annoncé que les morts avaient atteint le seuil de 20 000. Jérôme Salomon a également indiqué que les décès enregistrés sont supérieurs à ceux causés par la canicule qui a frappé la France en 2003. À l’époque, en effet, les décès s’élevaient à 19 000. Donc une mortalité inférieure à celle enregistrée par l’épidémie de Coronavirus.
Au cours de la sixième semaine de confinement pour la France en raison de l’épidémie de Coronavirus, les chiffres indiquent un ralentissement de la contagiosité. Les décès et les patients en réanimation diminuent, mais à un rythme trop faible. Bien que la situation s’améliore, les chiffres dépassent largement les capacités de la France.
Depuis le début de mars, la France a enregistré 20 265 décès. Plus de 12 000 d’entre eux sont décédés à l’hôpital, 7 000 dans des établissements pour personnes âgées. Les personnes hospitalisées sont au total plus de 30 000 dont près de 6 000 dans des conditions graves. Les estimations supposent qu’une fois le déconfinement, prévue pour le 11 mai, 3,7 millions d’habitants auront déjà dû faire face à un coronavirus. Par conséquent, 5,7% de la population. Très loin des 70% qui serviraient à déclarer l’immunité collective.
Un appel entre Emmanuel Macron et le pape François est prévu pour le 16 avril. Un souhait qu’ils partagent est de réduire la dette des pays pauvres afin qu’ils puissent mieux lutter contre l’épidémie. La question économique est en effet particulièrement préoccupante. D’abord, la France traverse une période de récession.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.